Quelques 11 millions de personnes, surtout des femmes, assistent au quotidien un proche malade, handicapé ou en situation de dépendance. Une charge, source d’inquiétudes, de fatigue et de stress, surtout si la personne aidée habite au domicile de l’aidant.

C’est une réalité. S’occuper de son parent, de son conjoint, de son enfant, malade, handicapé avec ou sans situation de dépendance est usant, fatiguant, stressant, prenant, culpabilisant…. On se remet souvent en question. Est-ce que j’en fais assez ? Est-ce que je devrais arrêter complètement mon travail ? Est-ce que je ne m’oublie pas un peu trop ? Comment vais-je pouvoir expliquer à mon employeur que je dois m’absenter toutes les semaines pour des rendez-vous ? Est-ce que je devrais changer de travail et me mettre à mon compte ? Ça fait combien de temps que je n’ai pas pris un moment pour moi ? Et est-ce que je peux me permettre de prendre un temps pour moi justement ?

Pourtant, les temps de répit sont indispensables pour évacuer le stress et la fatigue, pour remettre les évènements en perspective, réfléchir posément, tranquillement à l’avenir, reprendre confiance en soi et en son entourage.

Et si, en tant que proche accompagnant, vous étiez à votre tour soutenu ? Vous aussi vous avez le droit de rompre votre isolement et d’être accompagné.

On n’y pense pas nécessairement pour soi dans ce genre de situation, mais un coaching peut être particulièrement aidant en vous permettant un espace de parole, de réflexion, pour exprimer vos émotions, vos envies (rationnelles et irrationnelles !), vos souhaits et les mettre en action.

Allez, vous aussi vous avez le droit de souffler, de vous changer les idées, de prendre soin de vous et de votre forme : ateliers, cinémas, après-midi loisirs, congés, cours de gym, ateliers santé et séances de relaxations. Des solutions existent, profitez-en !